Quelle épopée !!

Quelle épopée !!

Le voyage commence pour le son de France Info à 6h15. C’était le top départ pour une folle journée. Le temps de se préparer et de faire de gros bisous à ma maman et à mon frère, et je saute dans la voiture avec mon papa. Sur la route comme d’hab’ j’ai cru que j’avais oublié quelque chose (traveler cheque). Mais en fait ils étaient bien là. Cette petite mésaventure nous a coûté le passage dans Belfort et ses traditionnels bouchons.

Bref on est arrivé à bon port. Après l’enregistrement de mes bagages, on a pu se payer le luxe de prendre un café. Mais l’heure tourne et j’ai du laisser mon papa. J’ai essayé de ne pas regarder en arrière mais je n’ai pas pu résister. C’est vrai vous allez tous me manquer.

Une fois assise et le cours de gilet de sauvetage fait j’ai pu profiter du vol. Par rapport à ma première expérience, je dois avouer que lors de la lancée de l’avion j’étais vraiment scotchée au siège. On prend rapidement de l’altitude.

L’arrivée à Bruxelles fut parfaite et j’ai redécouvert les joies de l’atterrissage. C’est un grand aéroport vaste et lumineux. Ayant 2 heures devant moi j’ai fait un peu de lèche vitrine dans les zones détaxées pour relever des prix. J’ai un peu flânée. Cependant le tour est vite fait je suis allé dans à mon embarquement où j’ai eu la surprise de pouvoir brancher ma batterie de PC. Vu qu’il restait du temps à tuer j’ai fait le plein d’énergie et de musique.

Le second vol fut plus long, et j’avoue que je me suis endormie. Au niveau de l’altitude on était beaucoup plus haut que les nuages. Le peu que j’ai vu de la Pologne dans les airs : c’est la forêt et quelques maisons aux toits bien rouges. Varsovie est une oasis au milieu de ces grands espaces plats, verts, agricoles clairsemer de villages.

Après avoir récupéré mes bagages et échanger un peu d’argent, j’ai pris le bus aider de 2 sympathiques polonais sans lesquels il est vrai que je me serais perdue. Ils m’ont accompagné dans le bus et jusqu’au tram où nous nous sommes quittés. Je crois que je ne  les remercierai jamais assez pour leur gentillesse. L’auberge de jeunesse fut facile à trouver mais petit hic 4 étages sans ascenseur. Heureusement 2 mecs costaux ont eu pitié de moi et m’ont tout monté.

Je crois vraiment que j’ai eu un bol monstrueux, je suis tombée sur des gens sympas et qui m’ont aidé. Parce que lorsque j’ai vu la station de bus et tous ces mots polonais… je me suis dit « on n’est pas rendu ». La langue est super complexe mais bon je sais que je vais m’y faire.